Etes-vous déjà tombé(e) malade, vous sentant tellement seul(e) que vous en pleuriez de désespoir?
Pour mieux expliquer ce que je veux dire, je vais encore partager un peu de mon histoire.
La première fois que je suis vraiment tombée malade après être partie de chez mes parents et avoir emménagé avec mon premier compagnon, c’était le jour où nous partions pour le week-end voir ses parents. Ils étaient assez âgés et nous avions aussi prévus d’aller rendre visite à des amis et membres de la famille alors on s’est demandé « Est-ce que nous devrions même partir ? »
Je me rappelle que j’étais assisse sur mon canapé très confortable, sous une couverture me tenant bien au chaud et je me sentais tellement désabusée.
Où était ma maman pour me dire quoi faire ? Quoi prendre pour que je me remette rapidement ? Me faire un gros câlin et me guider à travers les étapes de mon rétablissement ?
J’étais seule, avec mon corps, entourée de gens qui attendaient des choses de moi. Je ne comprenais pas ce qui arrivait, d’où ça venait et ce que je devais faire pour m’en débarrasser, me remettre, et retourner à ma vie à 100 à l’heure, aidant tout le monde sauf moi-même.
Heureusement, ça n’arrive pas trop souvent dans ma vie, alors je peux vous écrire aujourd’hui et toujours penser que je suis Superwoman, qui n’est jamais malade et que si ce qui m’arrive ne m’a pas achevée alors je peux continuer. « On pratique parce qu’on oublie ». Je suis comme vous. J’essaie.
Que ce soit un mauvais rhume, la grippe, covid, un burnout, une crise de quoique ce soit d’autre qui peut être bien pire, les maladies ne sont pas un stratagème d’enfer pour nous mettre à terre. Elles n’ont pas été conçues par la Vie pour nous punir. Et pourquoi est-il normal de se déresponsabiliser et d’avoir à aller voir quelqu’un pour nous dire quoi faire avec notre propre corps ?
Je sais très bien que notre corps est complexe. Une machine tellement complexe qu’en effet, il faut de très longues années pour devenir docteur et la plupart d’entre eux continuent pour se spécialiser sur un sujet en particulier pour limiter le surmenage et servir leurs patients au mieux de leur capacité. Et j’honore tout ça. Nous avons besoin de nos docteurs, chirurgiens et spécialistes. Nous avons besoin de tout le corps médical qui existe pour nous aider à être la meilleure version de nous-même. C’est aussi pour ça que je suis retournée à l’école. Pour apprendre pour vous et être capable de partager ces connaissances avec ceux et celles d’entre vous qui n’ont pas la même motivation ou temps libre que j’ai mais qui avez quand même besoin de savoir.
Il y a plein d’étapes intermédiaires que vous pouvez « contrôler » avant que ces malheureuses situations ne se présentent dans votre Vie. Nous avons été élevés et il nous est demandé de poursuivre le succès avec ambition. Et tous les moyens sont bons tant que nous n’échouons pas. Alors on travaille. Très Dur. On arrête de dormir, de cuisiner, presque même de manger. Avoir du temps pour nous est difficilement compréhensible parce que les résultats et chiffres sont ce qui compte le plus.
Alors on pousse. Un peu plus. Tous les jours. Et inconsciemment, on croise les doigts pour que rien n’arrive. Et que si ça arrive, ce soit tellement insignifiant qu’un cachet puisse faire l’affaire. En en prenant tout un cocktail chaque jour pour pouvoir continuer.
Votre Corps c’est comme votre voiture. Si vous ne mettez pas d’essence dedans, elle va s’arrêter. Si vous faites seulement la moitié du plein, vous devez aller à la station essence plus souvent. Et si vous poussez un peu plus tous les jours, la prochaine étape est d’aller au garage. Et voilà une facture de plus dont vous n’aviez pas besoin. Des fois on pense même que s’acheter une nouvelle voiture serait bien mieux.
Est-ce que vous pouvez vous acheter un nouveau Corps ?
Je sais que certains d’entre vous peuvent dire « Ah, ce que j’aimerais! »
Et vous n’êtes certainement pas prêt(e) à travailler avec moi. Mais je vous invite aujourd’hui à penser à tout ça. Penser à votre Corps. Ce que vous en savez. Ce que vous lui demandez. Ce que vous demandez à vous-même. Ce dont vous avez peur. Ce que vous ignorez chaque jour. Comment vous dépendez de vos amis, membres de la famille, docteurs, corps médical pour toujours avoir les réponses dont vous avez besoin ? Pour vous remettre d’aplomb maintenant, tout de suite, et que vous continuez à voir pour les mêmes problèmes ? A quel point vous êtes confus de tout ce qui remonte à la surface de votre Corps ?
L’Ayurveda vous donne la solution. Ça vous rappelle les outils que vous avez déjà. Ça vous aide à simplifier. Comprendre. Vous accorder avec votre corps pour voir les signes avant-coureurs bien avant qu’une maladie n’apparaisse et vous mettes à terre. Et pas dans 5, 10, 15 ans. Seulement en quelques mois.
Dépendamment de ce qui s’est développé dans votre corps, ça ne va pas vous réparer. Ça ne va pas vous sauver. Ça peut mais il y a plus de chances que ça ne soit pas le cas. Mais ça va vous ouvrir l’esprit. Vous soutenir et vous aider à vivre la meilleure Vie que vous puissiez avoir à ce moment-là. En étant plus à l’aise, gracieux(-se), en ayant plus d’énergie, d’amour, de force, d’endurance,…
Après, c’est votre choix.
Qu’aimeriez-vous faire de votre Vie ?